Bonjour Vous
Bonjour Vous
Ça va bien j’espère aujourd’hui
Vous allez faire partir mon ennui
Et devenir peut-être des amis
M’en a fallu du temps pour venir vous trouver
Mais à force de chercher
J’ai laissé de côté les routes compliquées
Pour venir vous jaser
Simplement
D’un peu de tout
De ce qui se passe autour aujourd’hui
De notre époque du temps de la vie
D’un peu de tout comme ça entre amis
Ce soir j’aimerais bien me sentir votre ami
Juste quelques moments
Prêtez-moi les oreilles de votre cœur aussi
Simplement
Bonjour vous
Bonjour vous
Bonjour
Paroles et musique : Guy Marin
Ça va bien j’espère aujourd’hui
Vous allez faire partir mon ennui
Et devenir peut-être des amis
M’en a fallu du temps pour venir vous trouver
Mais à force de chercher
J’ai laissé de côté les routes compliquées
Pour venir vous jaser
Simplement
D’un peu de tout
De ce qui se passe autour aujourd’hui
De notre époque du temps de la vie
D’un peu de tout comme ça entre amis
Ce soir j’aimerais bien me sentir votre ami
Juste quelques moments
Prêtez-moi les oreilles de votre cœur aussi
Simplement
Bonjour vous
Bonjour vous
Bonjour
Paroles et musique : Guy Marin
Ma première chanson d’amour
C’est ma première chanson d’amour
Comme un premier baiser
J’ai tellement tellement tourné autour
Que j’ai bien failli la manquer
Pour ma première chanson d’amour
Je me suis embrouillé
J’allais tout droit m’échouer sur l’île rouge
Quand elle m’a rattrapé
Nous étions loin sur nos navires
De brouillard tous entourés
Au large d’un cap la tête qui chavire
Sans savoir où nous diriger
Comme un premier rendez-vous
J’ai le trac mais j’ai osé
Aller lui déclarer mon amour
Dans un murmure pour l’aimer
Nous étions seuls sur nos navires
Des rochers à proximité
La mer, les courants voulaient nous engloutir
Mais une main nous a protégés
C’est ma première chanson d’amour
Ma voix tremble pour m’avouer
Tes yeux qui brillent, ta douceur qui m’entoure
Ma belle laissez-moi vous dévoiler mon amour
Paroles et musique : Guy Marin
Comme un premier baiser
J’ai tellement tellement tourné autour
Que j’ai bien failli la manquer
Pour ma première chanson d’amour
Je me suis embrouillé
J’allais tout droit m’échouer sur l’île rouge
Quand elle m’a rattrapé
Nous étions loin sur nos navires
De brouillard tous entourés
Au large d’un cap la tête qui chavire
Sans savoir où nous diriger
Comme un premier rendez-vous
J’ai le trac mais j’ai osé
Aller lui déclarer mon amour
Dans un murmure pour l’aimer
Nous étions seuls sur nos navires
Des rochers à proximité
La mer, les courants voulaient nous engloutir
Mais une main nous a protégés
C’est ma première chanson d’amour
Ma voix tremble pour m’avouer
Tes yeux qui brillent, ta douceur qui m’entoure
Ma belle laissez-moi vous dévoiler mon amour
Paroles et musique : Guy Marin
La Côte-de-Beaupré
De la Côte-de-Beaupré
Au plateau Mont-Royal
On est tous pareils
Le hockey, les partys
Les médias, le travail
La pluie qui ruisselle
Dans ma rue le matin
Quand je pars travailler
J’arrive de Saint-Joachim
Toi tu prends le métro Laurier
Chez nous c’est en face de l’Île d’Orléans
On devrait se voir plus souvent
Visiter nos villages citadins et paysans
Ouvrir un passage pour que rêvent nos enfants
Un café vendredi
Regarde le sablier
Musique aux oreilles
De Val-d’Or, Abitibi
À Chandler ou Percé
Il fera soleil
Dans mes yeux ce matin
Du château jusqu’à Beaupré
Toi c’est sur ton chemin
L’océan le rocher
Chez nous c’est en face de l’Île d’Orléans
On devrait se parler plus souvent
Dévoiler nos rêves et notre chagrin
Plaider notre terre et notre destin
Entendre Senneterre jusqu'à l’Ange-Gardien
Sur la Côte-de-Beaupré
À part quelques clochers
Il y a les cris des corneilles
D’un pays éloigné
Sont venues jacasser
Jusqu’à mes oreilles
Des mots et des liens
Pour nous rapprocher
Dans mon quotidien
Je vous entendais jaser
Chez nous c’est en face de l’Île d’Orléans
Entre les grandes eaux vives et le Cap Tourmente
C’est dans ce creuset que s’est coulée mon enfance
Paroles et musique : Guy Marin
Au plateau Mont-Royal
On est tous pareils
Le hockey, les partys
Les médias, le travail
La pluie qui ruisselle
Dans ma rue le matin
Quand je pars travailler
J’arrive de Saint-Joachim
Toi tu prends le métro Laurier
Chez nous c’est en face de l’Île d’Orléans
On devrait se voir plus souvent
Visiter nos villages citadins et paysans
Ouvrir un passage pour que rêvent nos enfants
Un café vendredi
Regarde le sablier
Musique aux oreilles
De Val-d’Or, Abitibi
À Chandler ou Percé
Il fera soleil
Dans mes yeux ce matin
Du château jusqu’à Beaupré
Toi c’est sur ton chemin
L’océan le rocher
Chez nous c’est en face de l’Île d’Orléans
On devrait se parler plus souvent
Dévoiler nos rêves et notre chagrin
Plaider notre terre et notre destin
Entendre Senneterre jusqu'à l’Ange-Gardien
Sur la Côte-de-Beaupré
À part quelques clochers
Il y a les cris des corneilles
D’un pays éloigné
Sont venues jacasser
Jusqu’à mes oreilles
Des mots et des liens
Pour nous rapprocher
Dans mon quotidien
Je vous entendais jaser
Chez nous c’est en face de l’Île d’Orléans
Entre les grandes eaux vives et le Cap Tourmente
C’est dans ce creuset que s’est coulée mon enfance
Paroles et musique : Guy Marin
La Bergeronne
Connaissez-vous la Bergeronne ?
Laissez-moi vous la présenter
Elle habite sur de hautes rives
D'un grand fleuve déjà fatigué
Parfois se baladent et fredonnent
Des airs de sirènes à pleurer
Sérénades qui nous hypnotisent
De ces géants fragilisés
Vêtue d'un châle brodé de brume
Elle surveille les naufragés
Ils viennent ici et s'aventurent
Près des récifs ils vont s'échouer
Sur le quai deux formes se dessinent
Tous deux amoureux clandestins
Prennent garde que rien ne les trahisse
Même s'ils se tiennent par la main
Malgré les vents et les orages
Pourront-ils croire à leur destin
La Bergeronne les encourage
À continuer un peu plus loin
Vêtue d'un châle brodé de brume
Elle veille sur les cœurs blessés
Ils viennent ici et s'aventurent
Près des récifs pour s'échouer
Pour s’aimer
Paroles et musique : Guy Marin
Laissez-moi vous la présenter
Elle habite sur de hautes rives
D'un grand fleuve déjà fatigué
Parfois se baladent et fredonnent
Des airs de sirènes à pleurer
Sérénades qui nous hypnotisent
De ces géants fragilisés
Vêtue d'un châle brodé de brume
Elle surveille les naufragés
Ils viennent ici et s'aventurent
Près des récifs ils vont s'échouer
Sur le quai deux formes se dessinent
Tous deux amoureux clandestins
Prennent garde que rien ne les trahisse
Même s'ils se tiennent par la main
Malgré les vents et les orages
Pourront-ils croire à leur destin
La Bergeronne les encourage
À continuer un peu plus loin
Vêtue d'un châle brodé de brume
Elle veille sur les cœurs blessés
Ils viennent ici et s'aventurent
Près des récifs pour s'échouer
Pour s’aimer
Paroles et musique : Guy Marin
Au large
ATTENTION MATELOTS
On va partir bientôt, préparez- vous
Lovez ces cordages qui trainent partout
Une main au bateau
Une main pour vous
Regarde devant
On sent la brise
Elle nous appelle
Au large
LARGUEZ LES AMARRES
Préparez les drisses
On arrive au vent
Prends garde à la gîte
Reste bien prudent
On quitte le port
Surveille en avant
Le bateau danse
Rentrez les défenses
Respire la brise
Elle nous attend
Au large
HISSEZ LA GRAND-VOILE
Hissez, hissez haut
On arrive au bout
Hissez, hissez haut
Le génois aussi
Prenez tout le mou
Ne laisse pas de plis
Ça y est le Grand-Fou
Il prend son élan
Il est parti
Tout droit devant
Les voiles sont gonflées
Le silence à peine troublé
Profitez du moment
Parfum de liberté
Sur les vagues brillent
Des milliers de diamants
Et sur les moutons blancs
Plonge le fou de Bassan
ATTENTION MATELOTS
Paroles : Guy Marin /Johanne Pomerleau - Musique : Guy Marin
On va partir bientôt, préparez- vous
Lovez ces cordages qui trainent partout
Une main au bateau
Une main pour vous
Regarde devant
On sent la brise
Elle nous appelle
Au large
LARGUEZ LES AMARRES
Préparez les drisses
On arrive au vent
Prends garde à la gîte
Reste bien prudent
On quitte le port
Surveille en avant
Le bateau danse
Rentrez les défenses
Respire la brise
Elle nous attend
Au large
HISSEZ LA GRAND-VOILE
Hissez, hissez haut
On arrive au bout
Hissez, hissez haut
Le génois aussi
Prenez tout le mou
Ne laisse pas de plis
Ça y est le Grand-Fou
Il prend son élan
Il est parti
Tout droit devant
Les voiles sont gonflées
Le silence à peine troublé
Profitez du moment
Parfum de liberté
Sur les vagues brillent
Des milliers de diamants
Et sur les moutons blancs
Plonge le fou de Bassan
ATTENTION MATELOTS
Paroles : Guy Marin /Johanne Pomerleau - Musique : Guy Marin
La gigue à Marin
C'est un bruit inquiétant qui gronde
Mais ce n'est pas le vent
Des machines géantes sondent
Et tourmentent
Une atmosphère fétide inonde
Elle étouffe les enfants
Il faut fuir à l’autre bout du monde
Sacrer l’camp
L'équipage et son capitaine
Rejoindront l'océan
Loin de l'urgence des sirènes
Sauve qui peut, ils vont sacrer l'camp
C'est un bruit inquiétant qui gronde
C’est peut-être le vent
Les marins alarmés ils sondent
Se tourmentent
Nos coureurs de bois de marées
Frappent un autre continent
De plastique ils sont entourés
Pour longtemps
L’équipage et son capitaine
Ne savent pas comment
Loin des Îles et des Madeleines
Impossible de sacrer l'camp
Bercé par de vagues certitudes
Qui changent avec le temps
L'homme sans foi sombre dans l'inquiétude
Des angoisses et des tourments
Des angoisses et des tourments
Paroles et musique : Guy Marin
Mais ce n'est pas le vent
Des machines géantes sondent
Et tourmentent
Une atmosphère fétide inonde
Elle étouffe les enfants
Il faut fuir à l’autre bout du monde
Sacrer l’camp
L'équipage et son capitaine
Rejoindront l'océan
Loin de l'urgence des sirènes
Sauve qui peut, ils vont sacrer l'camp
C'est un bruit inquiétant qui gronde
C’est peut-être le vent
Les marins alarmés ils sondent
Se tourmentent
Nos coureurs de bois de marées
Frappent un autre continent
De plastique ils sont entourés
Pour longtemps
L’équipage et son capitaine
Ne savent pas comment
Loin des Îles et des Madeleines
Impossible de sacrer l'camp
Bercé par de vagues certitudes
Qui changent avec le temps
L'homme sans foi sombre dans l'inquiétude
Des angoisses et des tourments
Des angoisses et des tourments
Paroles et musique : Guy Marin
Pelleter de la boucane
C'est un problème épouvantable
Situation inacceptable
On ne peut pas se croiser les bras
Il faut agir vite et d'une seule voix
Intervenir avec tout notre sang froid
Prévenir l'imprévisible
Le mieux à faire dans ce cas
Pelleter d'la boucane pelleter des nuages (bis)
On va tenir une consultation et se former une commission
Recueillir les solutions végétatives pour rester lucratives
Après avoir retourné les équations et se voir tourner en rond
Le mieux à faire dans ce cas
Pelleter d'la boucane pelleter des nuages (bis)
Après cela il y eu un autre conseil et un autre comité
Et encore des réunions jusqu’à ce que l’on oublie pourquoi on était là
Puisqu’on était tous rendus on s'est officiellement réunis
Afin d'y réfléchir
Finalement on a tous
Pelleté d'la boucane pelleté des nuages (x4)
Paroles et musique : Guy Marin
Situation inacceptable
On ne peut pas se croiser les bras
Il faut agir vite et d'une seule voix
Intervenir avec tout notre sang froid
Prévenir l'imprévisible
Le mieux à faire dans ce cas
Pelleter d'la boucane pelleter des nuages (bis)
On va tenir une consultation et se former une commission
Recueillir les solutions végétatives pour rester lucratives
Après avoir retourné les équations et se voir tourner en rond
Le mieux à faire dans ce cas
Pelleter d'la boucane pelleter des nuages (bis)
Après cela il y eu un autre conseil et un autre comité
Et encore des réunions jusqu’à ce que l’on oublie pourquoi on était là
Puisqu’on était tous rendus on s'est officiellement réunis
Afin d'y réfléchir
Finalement on a tous
Pelleté d'la boucane pelleté des nuages (x4)
Paroles et musique : Guy Marin
Voyageurs
Bienvenue à bord
Ici le commandant
Bouclez vos ceintures
On va décoller dans quelques instants
Nous voyagerons en haute altitude
Portés par les ailes d’un oiseau de fer
Supporté par l’air
Mais moi j’ai peur je ne sais pas voler
Je ne suis pas habitué
De me laisser porter
M’abandonner
Voyageurs envolés
Migrateurs propulsés
Vers tous les soleils
Tout me semble tranquille pour le moment
À trente-six mille pieds
Au milieu d’une mer vaste et moutonnée
De nuages blancs
Pareils aux outardes
Les marins du ciel
Changent de paysages
Au gré des escales
Des journées partielles
Pilotes et passagers
Décalés
Voyageurs envolés
Migrateurs propulsés
Vers tous les soleils
Paroles et musique : Guy Marin
Ici le commandant
Bouclez vos ceintures
On va décoller dans quelques instants
Nous voyagerons en haute altitude
Portés par les ailes d’un oiseau de fer
Supporté par l’air
Mais moi j’ai peur je ne sais pas voler
Je ne suis pas habitué
De me laisser porter
M’abandonner
Voyageurs envolés
Migrateurs propulsés
Vers tous les soleils
Tout me semble tranquille pour le moment
À trente-six mille pieds
Au milieu d’une mer vaste et moutonnée
De nuages blancs
Pareils aux outardes
Les marins du ciel
Changent de paysages
Au gré des escales
Des journées partielles
Pilotes et passagers
Décalés
Voyageurs envolés
Migrateurs propulsés
Vers tous les soleils
Paroles et musique : Guy Marin
Romantique
Juste un bisou dans l'cou
Petit geste anodin
Être simplement doux
Sans nul autre dessein
Ce n'est pas compliqué
D'être un brin romantique
Il suffit de s’aimer
En suivant la musique
Les décors influencent
Comme un coucher d'soleil
Une soirée, de l’ambiance
Sur une peau de bête
Mais le vrai romantisme
Ce n'est pas de la science
Rien de biologique
Car le cœur s'en balance
Juste un bisou dans l'cou
Petit geste anodin
Être simplement doux
Sans nul autre dessein
Juste à penser à rien
Et rester authentique
Après tu peux danser
En suivant la musique
Moi j'ai voulu te dessiner
À main levée
Ton cœur d'enfant
Celui qui fait fondre les géants
Et ce regard timide
Quand je dis que tu es belle
Mais le vrai romantisme
Ce n'est pas de la science
C’est une entente tacite
Libre et sans détour
Les instants romantiques
Ont besoin de l’amour
Sinon c’est comme un moustique
Qui nous tourne alentour
Juste un bisou dans l'cou
Paroles et musique : Guy Marin
Petit geste anodin
Être simplement doux
Sans nul autre dessein
Ce n'est pas compliqué
D'être un brin romantique
Il suffit de s’aimer
En suivant la musique
Les décors influencent
Comme un coucher d'soleil
Une soirée, de l’ambiance
Sur une peau de bête
Mais le vrai romantisme
Ce n'est pas de la science
Rien de biologique
Car le cœur s'en balance
Juste un bisou dans l'cou
Petit geste anodin
Être simplement doux
Sans nul autre dessein
Juste à penser à rien
Et rester authentique
Après tu peux danser
En suivant la musique
Moi j'ai voulu te dessiner
À main levée
Ton cœur d'enfant
Celui qui fait fondre les géants
Et ce regard timide
Quand je dis que tu es belle
Mais le vrai romantisme
Ce n'est pas de la science
C’est une entente tacite
Libre et sans détour
Les instants romantiques
Ont besoin de l’amour
Sinon c’est comme un moustique
Qui nous tourne alentour
Juste un bisou dans l'cou
Paroles et musique : Guy Marin
Le fil d’Ariane
Ils sont à l'âge des grands yeux
Et dans la vie mordent à pleines dents
Cogne très fort le cœur en eux
C'est à leur tour de faire le monde
De retourner la terre au creux
Et regarder droit en avant
Proclamer un cessez-le-feu
Pour que tous les jardins abondent
Comme dans la mer les vagues passent
Quand c'est le creux par-dessus l'âme
Attrape les mains dans la bourrasque
Suis leur chemin comme un fil d'Ariane
Une main s'avance au tableau noir
Montrer les mots et le grimoire
À l'autre bout du corridor
On parle de chiffres
Et Pythagore
Une main balance devant la classe
Bat la mesure
Concert ce soir
Et partout on entend encore
Les voix, les rires et les efforts
Comme dans la mer les vagues passent
Quand c'est le creux par-dessus l'âme
Attrape les mains dans la bourrasque
Suis leur chemin comme un fil d'Ariane
La liberté elle accompagne
De connivence
Allume la flamme
Avec ses messagers d'espoir
Dans les corridors du savoir
Comme dans la mer les vagues passent
Quand c'est le creux par-dessus l'âme
Attrape les mains dans la bourrasque
Suis leur chemin comme un fil d'Ariane
Le fil d'Ariane Le fil d'Ariane Le fil d'Ariane
Paroles et musique : Guy Marin
Et dans la vie mordent à pleines dents
Cogne très fort le cœur en eux
C'est à leur tour de faire le monde
De retourner la terre au creux
Et regarder droit en avant
Proclamer un cessez-le-feu
Pour que tous les jardins abondent
Comme dans la mer les vagues passent
Quand c'est le creux par-dessus l'âme
Attrape les mains dans la bourrasque
Suis leur chemin comme un fil d'Ariane
Une main s'avance au tableau noir
Montrer les mots et le grimoire
À l'autre bout du corridor
On parle de chiffres
Et Pythagore
Une main balance devant la classe
Bat la mesure
Concert ce soir
Et partout on entend encore
Les voix, les rires et les efforts
Comme dans la mer les vagues passent
Quand c'est le creux par-dessus l'âme
Attrape les mains dans la bourrasque
Suis leur chemin comme un fil d'Ariane
La liberté elle accompagne
De connivence
Allume la flamme
Avec ses messagers d'espoir
Dans les corridors du savoir
Comme dans la mer les vagues passent
Quand c'est le creux par-dessus l'âme
Attrape les mains dans la bourrasque
Suis leur chemin comme un fil d'Ariane
Le fil d'Ariane Le fil d'Ariane Le fil d'Ariane
Paroles et musique : Guy Marin
En français
C'est déjà la fin, je dois vous laisser
Prenez ces chansons que j'ai fabriquées
Avec la langue de ma mère pour être certain
De dire le fond de ma pensée
Si j'étais Anglais, Japonais ou Indien
C'est dans ces langues que je me raconterais
Quand les mots arrivent là dans ma tête
Et qu'ils fleurissent tout en douceur
Ils ont des racines dans mon cœur
Moi quand je rêve c'est en français
Même quand je pleure c'est en français
Si je vous aime c'est en français
Si ça fait mal c’est en français
Si je me cabre quand vous voulez me mettre un mors
Au nom de l'art et des dollars
Ils m'ont trainée laissée pour morte
Seule à mon sort
Notre histoire achève, je dois terminer
J'ai eu du plaisir à venir vous chanter
Laissez-moi un coin dans votre quotidien
Histoire de ne pas nous oublier
Si je vous aime c'est en français
Si ça fait mal c'est en français
Si je vous rêve ...
Si je vous chante ...
Paroles et musique : Guy Marin
Prenez ces chansons que j'ai fabriquées
Avec la langue de ma mère pour être certain
De dire le fond de ma pensée
Si j'étais Anglais, Japonais ou Indien
C'est dans ces langues que je me raconterais
Quand les mots arrivent là dans ma tête
Et qu'ils fleurissent tout en douceur
Ils ont des racines dans mon cœur
Moi quand je rêve c'est en français
Même quand je pleure c'est en français
Si je vous aime c'est en français
Si ça fait mal c’est en français
Si je me cabre quand vous voulez me mettre un mors
Au nom de l'art et des dollars
Ils m'ont trainée laissée pour morte
Seule à mon sort
Notre histoire achève, je dois terminer
J'ai eu du plaisir à venir vous chanter
Laissez-moi un coin dans votre quotidien
Histoire de ne pas nous oublier
Si je vous aime c'est en français
Si ça fait mal c'est en français
Si je vous rêve ...
Si je vous chante ...
Paroles et musique : Guy Marin
Femmes
Comme voyagé par un voilier
D’oiseaux blancs d’hiver
Simple passager de son navire
Bercé de mystère
Jusqu’au faîte d’un nid
Accueillant et rempli d’irréelles délices
Femme de luxe aux pensées terre à terre
Au regard de biche, mais le cœur de fer
Habituée aux délices et sachant quoi faire
Les flammes du cœur enfouies sous les décombres
Des mondes fermés
De petits univers
Comme voyagé par un voilier
D’oiseaux blancs d’hiver
Simple passager de son navire
Bercé de mystère
Jusqu’au faîte d’un nid
Accueillant et rempli d’irréelles délices
Femme de mon cœur tu étais juste là
Belle comme une fleur que je n'attendais pas
Moi qui frappais le vent sans jamais le blesser
Tous ces moulins géants m'avaient presque épuisé
Je ne t'espérais plus
Ma tendre destinée
Paroles et musique : Guy Marin
D’oiseaux blancs d’hiver
Simple passager de son navire
Bercé de mystère
Jusqu’au faîte d’un nid
Accueillant et rempli d’irréelles délices
Femme de luxe aux pensées terre à terre
Au regard de biche, mais le cœur de fer
Habituée aux délices et sachant quoi faire
Les flammes du cœur enfouies sous les décombres
Des mondes fermés
De petits univers
Comme voyagé par un voilier
D’oiseaux blancs d’hiver
Simple passager de son navire
Bercé de mystère
Jusqu’au faîte d’un nid
Accueillant et rempli d’irréelles délices
Femme de mon cœur tu étais juste là
Belle comme une fleur que je n'attendais pas
Moi qui frappais le vent sans jamais le blesser
Tous ces moulins géants m'avaient presque épuisé
Je ne t'espérais plus
Ma tendre destinée
Paroles et musique : Guy Marin